FOIRE AUX QUESTIONS
. Depuis combien de temps votre Société existe-t-elle ?
Elle a été créée en 1989, par Pierre Lafitan.
. Qui est Pierre Lafitan ?
C’est un musicien et un communicant, qui a un parcours atypique. Il a appris la musique très jeune, au sein de l’harmonie de son village natal, dans le Gers. Son grand-père, qui l’a poussé sur les rangs, jouait du baryton. Lui, a hérité d’un saxophone alto que l’harmonie municipale a bien voulu prêter à ses parents, car le foyer familial n’était pas très riche. A l’adolescence, il a participé à la création d’une banda (qui existe toujours, d’ailleurs !) On peut dire qu’il a vécu de l’intérieur les affres et les joies procurées par la pratique musicale amateur. Puis, il a été saisi par le virus du journalisme. Il a effectué d’abord une carrière dans la presse quotidienne régionale, ensuite dans la presse magazine à Paris, avant de bifurquer vers la communication. En 1989, sans abandonner la communication, il est revenu aux sources en créant une maison d’édition musicale axée en grande partie sur le monde musical amateur.
. Quelle était sa motivation ?
Il voulait apporter de nouvelles œuvres sur ce créneau de l’harmonie, qui a souffert longtemps – et souffre encore – d’un déficit d’image auprès du grand public. Profitant de son expérience dans le domaine de la communication, il a créé quelques événements, dans le but, précisément de valoriser l’image de la pratique musicale amateur.
. Comment avez-vous démarré ?
Pierre Lafitan a écrit lui-même des morceaux, au début, pour étoffer le catalogue. Puis, petit à petit, des compositeurs se sont manifestés et ont apporté des oeuvres originales. Au tout début, il y eut André Zemp (aujourd’hui décédé), puis Michel Del Giudice (également décédé), puis Michel Chebrou, Francis Coiteux, Maurice Faillenot (décédé en juillet 2010), Jérôme Naulais, Claude-Henry Joubert… La machine était lancée ! Beaucoup d’autres compositeurs ont rejoint notre Edition par la suite. Aujourd’hui, nous en comptons plusieurs centaines, de tous âges, dont certains bénéficient d’une forte notoriété. D’autres sont moins connus et nous sommes fiers de les accompagner sur la voie de la réussite…
. Comment votre Edition a-t-elle évolué ?
Au cours des premières années, nous avons ciblé essentiellement l’orchestre d’harmonie. Nous avons sorti de très belles pièces, de Jérôme Naulais, puis de Jean-Jacques Flament, qui n’avait jamais été édité et qui a acquis en quelques années une réelle stature dans le microcosme de l’harmonie. Par la suite, Philippe Oprandi, Désiré Dondeyne, Marcel Chapuis, Michel Nierenberger, Roger Boutry, ont rejoint notre équipe, apportant une crédibilité à notre entreprise. En marge du catalogue «harmonie», nous avons sorti des œuvres dans le domaine bien spécifique de la batterie-fanfare, écrites par des spécialistes du genre : Jacques Devogel, Michel Del Giudice, Robert Goute, Marc Steckar. Puis, à partir de 1993, nous avons constitué progressivement un catalogue de musique instrumentale – à usage des examens et concours de musique – qui s’est étoffé au fil des années et qui représente actuellement environ 65 % du catalogue global.
. Quelle est votre ligne éditoriale aujourd’hui ?
Nous maintenons, bien sûr, le cap sur la pièce de concours, qui reste notre activité fondamentale. Dans le domaine orchestral, nous avons choisi d’orienter nos efforts sur le créneau de la classe d’orchestre et d’apporter, en même temps, un répertoire original, intéressant et facile d’accès, aux petites formations à vent (celles que l’on appelait naguère les « harmonies-fanfares »). Les pièces que nous allons sortir pour les classes d’orchestres pourront être utilisées, bien évidemment, par les petits orchestres d’harmonie et vice-versa. Ce répertoire – destiné à la fois aux classes d’orchestres et aux « harmonies-fanfares » – sera plaisant, attractif, avec des arrangements satisfaisant tous les acteurs de l’orchestre. Des « à défaut » permettront aux morceaux de bien sonner, quelle que soit la configuration de l’orchestre. Ces morceaux seront déclinés selon un cahier des charges précis, assurant une homogénéité d’ensemble et une qualité linéaire, à la fois aux plans artistiques et esthétiques : qualité des orchestrations et des lignes mélodiques, présentation standardisée, avec huit portées maximum pour les scores et deux systèmes par page, ce qui réduira le nombre de pages global des scores ; parties séparées sur une page maximum (au format « paysage » pour les morceaux festifs et la musique de rue). Ainsi, ces morceaux seront accessibles à toutes les formations.
. Quelles sont vos valeurs ?
Une exigence de qualité à tous les maillons de la chaîne, le respect des clients (nous ne les connaissons pas tous personnellement car ils se chiffrent par centaines, mais nous entretenons des rapports chaleureux avec nombre d’entre eux, soit par téléphone ou par contact direct), la disponibilité et la réactivité, la volonté d’innover, à la fois dans le contenu du catalogue et dans les technologies permettant l’optimisation de notre production et sa mise à disposition auprès de nos clients.
. Internet est une voie de développement pour vous ?
Oui. Nous avons été parmi les premiers à miser sur la « toile » voilà une vingtaine d’années. C’était une vision bien inspirée, lorsque l’on voit le succès d’Internet aujourd’hui !
. Comment se caractérise votre site ?
Il s’illustre par une belle esthétique, par une excellente ergonomie et apporte aux internautes un grand confort de consultation. Les visiteurs peuvent consulter des extraits visuels (PDF) et sonores des œuvres (MP3). Nous avons retravaillé systématiquement les extraits sonores et nous proposons uniquement sur le site des démonstrations au format MP3. Le but est, bien sûr, d’améliorer la qualité des extraits présentés. Cette disposition permet aux internautes d’apprécier les œuvres du catalogue à leur juste valeur.
. Quels sont les "plus" sur le site ?
Les clients peuvent commander selon deux modes : le téléchargement (ils reçoivent alors, dès validation de leur règlement, un lien dans leur boîte e-mail) ou l’envoi postal (ils reçoivent l'oeuvre sous sa forme imprimée, dans leur boîte à lettres). Dans le cadre du premier mode d’achat (téléchargement) le client reçoit gratuitement, outre le fichier PDF, deux fichiers sonores de démonstration : instrument-piano et piano seul. Cela, bien sûr, sous réserve que les fichiers sonores en question existent. C'est vrai pour une grande majorité d'oeuvres, notamment dans le domaine des oeuvres instrumentales. Ces fichiers constituent, pour les clients internautes, des outils à la fois attractifs et didactiques, qui leur permettront d’optimiser leur préparation aux examens de musique.
. Et vous avez une grande innovation à nous annoncer...
Oui, dorénavant, les clients qui commandent par mode "livraison à domicile", reçoivent également, dans leur boîte e-mail, les fichiers sonores de démonstration (lorsqu'ils existent, bien sûr). C'est une excellente nouvelle pour les clients concernés.
. Comment fonctionne le système d’achat en ligne ?
La procédure est simple et se déroule en trois étapes. D’abord, le client choisit la ou les œuvres qui l’intéressent, en cliquant sur le bouton « Ajouter au panier ». (Il se trouve sous la présentation de chaque œuvre).
Puis, il clique sur « Mon panier » (en haut de la page d’accueil, à droite du moteur de recherche).
Enfin, il se laisse guider pas à pas, jusqu’à la concrétisation de l’achat.
. Que reçoit au juste l’internaute ?
S’il a choisi le mode « téléchargement », il reçoit dans sa boîte e-mail – dès validation de son règlement - un lien lui permettant de télécharger des fichiers : notamment le fichier PDF de l’œuvre globale (page de garde, conducteur et partie séparée), ainsi que la facture prouvant la légalité de la transaction. Il n’a plus qu’à télécharger le fichier PDF sur son ordinateur et à sortir les feuilles de musique sur son imprimante. Dans le cas où ces fichiers existent, l'internaute reçoit en cadeau, dans le même lien, les fichiers sonores de démonstration.
S’il a choisi le mode « livraison à domicile », le client reçoit par voie postale, dans sa boîte à lettres, la version imprimée de l'oeuvre. Il reçoit également, en cadeau, dans sa boîte e-mail, les fichiers sonores de démonstration, s'ils existent.
. Quels sont les avantages du téléchargement ?
Ils sont clairs : le client reçoit le lien permettant de télécharger la partition, dès validation de son règlement. Il n’a plus qu’à sortir la partition sur son imprimante et à se mettre tout de suite à jouer. Avec le fichier sonore de démonstration « piano seul » transmis en cadeau, il se prépare d’autant plus efficacement à son examen et met toutes les chances de son côté. Il faut préciser que le fichier PDF que reçoit par mail le client est le même que celui utilisé pour le tirage de la partition. Si la partition imprimée comporte, par exemple, une analyse de la pièce ou une biographie du compositeur avec sa photo en couleurs, le fichier PDF que reçoit le client internaute comprend lui aussi ces éléments.
. Ce téléchargement est-il admis par les professeurs au moment de l’examen ?
Oui, bien sûr, car il s’agit d’un téléchargement légal et non d’un piratage ou d’une contrefaçon. La facture que reçoit le client avec le fichier PDF, prouve la légalité de son achat. Nous conseillons donc aux élèves de se munir de cette facture le jour de l’examen, pour la montrer au professeur le cas échéant. De toute façon, le procédé est bien rodé maintenant. Voilà des années que des clients achètent des morceaux sur notre site par voie de téléchargement. Les professeurs ont l’habitude…
. Quelles sont les possibilités de règlement, sur votre site ?
Le client peut régler au choix par carte bancaire (paiement sécurisé), par Paypal, par chèque ou par virement. Et cela dans le cadre des deux modes de livraison : téléchargement ou envoi postal. Si le client choisit le mode téléchargement et s’il règle par carte bancaire ou Paypal, il reçoit sa commande par e-mail dès validation du règlement. S’il règle par chèque ou par virement, il devra attendre que le chèque soit en notre possession ou que la somme soit bien versée sur notre compte bancaire, pour recevoir les fichiers par e-mail.
. Le paiement par carte bancaire est-il réellement sécurisé ?
Oui, il est développé par le service « e-transactions » du Crédit Agricole, qui a été un précurseur dans le domaine du paiement à distance et sur Internet. Le mode de paiement proposé par « e-transactions » est le paiement sécurisé SSL. Ce protocole de paiement est standard et reconnu dans le monde entier pour la protection des données transmises sur Internet. Il est disponible sur la quasi-totalité des navigateurs (Internet Explorer V3.02 et suivantes de Microsoft, Navigator V1.1 et suivantes de Netscape,...). Les données fournies par l’internaute sur sa carte (numéro, date de fin de validité, trois chiffres au dos) sont cryptées avant l’envoi de son poste au serveur de paiement e-transactions.
. Qu’entend-on par paiement sécurisé ?
Un paiement « sécurisé » signifie que les transactions effectuées sur le réseau Internet sont protégées contre les interceptions non autorisées et également contre les modifications et altérations non autorisées du contenu original des messages. Le cryptage des données consiste à les rendre secrètes. Il s'agit de transformer les lettres qui composent le message en une succession de chiffres, puis ensuite de faire des calculs sur ces chiffres pour que le destinataire puisse les décrypter, cette opération s'appelle le chiffrement. Le fait de coder un message de telle façon à le rendre secret s'appelle le cryptage. La méthode inverse, consistant à retrouver le message original, est appelée décryptage. SSL signifie « Secure Socket Layer » : formulaire sécurisé rempli par l’acheteur lors de la saisie de ses informations bancaires. Les clés de chiffrement utilisées sont de 128 bits. Le protocole utilisé est compatible avec les navigateurs Netscape et Internet Explorer.
. Quel est le processus de paiement par carte bancaire sur votre site ?
Il s’effectue en quatre étapes. Après avoir rempli son panier, l’internaute clique sur un des moyens de paiement, proposés par notre site (grâce au kit « e-transactions »). L'internaute est automatiquement connecté au serveur de paiement e-transactions qui lui demande ses coordonnées bancaires pour pouvoir effectuer une demande d'autorisation auprès de sa banque. Les données requises sont : numéro de carte, date d'expiration, cryptogramme visuel (les 3 derniers chiffres du numéro qui figure au verso de la carte). Dès réception de la réponse d'autorisation, e-transactions adresse simultanément une réponse au serveur commerçant ainsi qu'un ticket de caisse. Le serveur e-transactions envoie la transaction pour remise en banque (crédit commerçant et débit internaute). Les échanges entre « e-transactions » et l'internaute sont cryptés. Seul, le serveur e-transactions connaît le numéro de carte bancaire de l'internaute.